​Comment fonctionne l'Empoteuse​

Un modèle financier atypique

Le défi : trouver un mode de fonctionnement qui permette à l'emballage d'être distribué et nettoyé à n'importe quel échelon, sans qu'il ne représente un poids financier par rapport à des emballages à usage unique.

Ce modèle doit naturellement permettre à l'Empoteuse de garder une pérennité pour assurer la continuité de ses serivces au fil des années.  


Et pourtant elle tourne !

Ce modèle circulaire fait ses preuves depuis 2020 : en partageant le prix de manière claire, nous pouvons garantir la circularité et l'avantage économique pour tous les usagers du système. 

La consigne correspond à la valeur nette du contenant. Elle ne comporte aucune marge, elle est juste arrondie au prix rond le plus proche. 

Tous les utilisateurs du système s'engagent à respecter ce montant. 

TVA : 0%

Le service couvre tous les frais de fonctionnement de l'Empoteuse et la mise à disposition des contenants (qu'ils soient neufs ou lavés). 

Le client (restaurant, producteur, commerce) amortira le coût du service sur le nombre d'utilisations qu'il fera du contenant. Souvent, c'est moins cher que du jetable !

TVA : 21%


Les frais de port sont facturés au prix coûtant. 
Les frais de collecte des consignes (en commerce, chez les grossistes...) sont compris dans le service. 
TVA : 21%

Le fonctionnement en réseau

Le fonctionnement de base : l'Empoteuse fournit ses consignes à des professionnel·le·s en leur facturant la consigne, le service et le transport. 

Les consignes circulent, parfois avec des intermédiaires (producteurs > grossistes > commerces). 

Le montant de la consigne, identique pour tous, est facturé à chaque fois que la consigne change de mains. 

Il ne faut donc pas considérer la consigne comme un coût, mais comme un flux financier : qu'elle soit vendue, échangée ou rendue, le montant investi est récupéré tôt ou tard. 


Etude de cas : restaurant

Les HoReCa représentent une grande partie de la clientèle de l'Empoteuse, et pour cause : le système s'adapte particulièrement bien à des cuisines qui peuvent facilement faire la vaisselle. 

En plus, les contenants réutilisables reviennent vite moins cher que des contenants jetables. 



Etude de cas : producteur / transformateur alimentaire

Un petit producteur artisanal peut très bien décider de s'équiper en contenants réutilisables et de les nettoyer lui-même. 

Si la gamme propre de l'Empoteuse (verre traité et borosilicate) est très sélective et convient mieux aux traiteurs et au petit artisanat, pour les gros volumes on trouvera des prix très compétitifs dans les gammes prévues à cet effet : 

Gamme verre industriel Gamme plastique


Etude de cas : épicerie vrac

Les pots, sacs en coton et plateaux à fromage de l'Empoteuse sont souvent utilisés par des commerces vrac, sans pour autant se substituer à des contenants de récup', qui restent l'emballage à privilégier dans tous les cas. 

Les contenants consignés facilitent la vente en vrac lorsque le client n'a pas prévu assez de contenants. Avec un pot, sac ou plat consigné, l'épicier·ère peut aussi :

- Préparer à l'avance des pots de produits visqueux dont le service en magasin représente un souci d'hygiène, de fluidité ou de gaspillage. 

- Préparer des assortiments de petites gourmandises. 

- Faciliter la vente rapide d'un fonds de silo en disposant quelques pots prêts à emporter. 

- Préparer des cadeaux qui inciteront ensuite le retour vers le vrac. 

Tous les pots sont tarés (+ code-barre compatible MicroConcept). 

Pour ce qui est du prix, il est fréquent que le commerce facture 1 € de service (frais de mise à disposition) en plus du contenant. Cela lui permet d'amortir son premier achat et de réaliser une marge lors des réemplois. 


Et comment l'Empoteuse est rentable ?

C'est très gentil de vous en soucier ! 

En découpant le prix en trois parties comme expliqué ci-dessus, je garantis la rentabilité du système avec beaucoup de justesse.

La consigne, en cas de retour, me revient au même prix qu'un emballage neuf, donc il n'y a pas de déséquilibre si les taux de retour sont très élevés, ou très bas. 

La plupart de mes clients nettoient leurs emballages eux-mêmes, ce qui signifie que je ne leur facture plus rien une fois le service vendu. Ce n'est pas de l'économie de la fonctionnalité : plus l'emballage circule, moins ça leur coûte. 

Le montant du service couvre mes frais de fonctionnement (fixes et variables). Il pourra partiellement diminuer au fur et à mesure que le système s'agrandira. 

Pourquoi pas des consignes libres pour chaque producteur ?

Les avantages

Format libre

Chacun peut se démarquer avec un contenant esthétique à son image. 

Prix libre

Vous pensez savoir quel montant est idéal pour la consigne ? C'est votre choix. 

Nettoyage par vos soins

Votre consigne ne peut revenir que chez vous, vous êtes seul·e responsable du nettoyage. 

Achat en gros

Vous achetez vos contenants à l'usine ou chez un grossiste, au prix du marché jetable. 

Les inconvénients

Identification de la consigne

Le consommateur final ne reconnaît pas forcément la consigne : prévoyez un taux de retour de 10-30%. 

Complexité du système

Chaque producteur qui impose sa consigne libre aux commerces complexifie le réemploi.

Logistique de retour

Chaque consigne libre doit avoir un flux de retour distinct. 

Et la circularité ?

Si vous achetez des contenants très bon marché, les consignez à un prix élevé, serez-vous prêt·e à mettre en place un système de réemploi qui vous coûte plus cher que l'achat de nouvelles palettes ? 


Envie d'y voir plus clair par rapport à votre projet ?

Que vous choisissiez de travailler avec ma gamme, la votre, ou une autre, n'hésitez pas à me contacter pour boucler un projet efficace et circulaire qui n'entrave pas le cœur de votre activité. 

On s'appelle ou on s'écrit ?